Jeudi 8 mai 4 08 /05 /Mai 14:10

"Les multiples vies d'Ernest"mustache-pulpV2

 

par

 

 

 

 

Où l'on assiste à une extraction magistrale de substantielle moelle… pauvre, pauvre Ernie...

 


Episode 04 : Comme un derrick !

 

Feuil-04      – « Oh ! Mon dieu ! » s’exclama Ernie en se tortillant victime des léchouilles expertes de Calypso : « Nan ! Tu peux m’appeler Cel » plaisanta Calypso tout en léchant furieusement du bout pointu de sa langue le méat et le contour du gland. Une perle de sève apparaissait de temps à autre au sommet de son bourgeon maintenant rouge violacé, et la perverse serveuse la cueillait au passage d’un coup de langue avant de la déguster avec extase et de rependre sa torture buccale de plus belle. Calypso se mit alors à malaxer les couilles de Ernie tout en les roulant entre ses doigts, Ernie lui lança un regard surpris, « j’aime pas les grumeaux ! » expliqua Calypso. C’était très agréable, Ernie pétrissait la poitrine de Calypso avec frénésie et de l’autre main essayait tant bien que mal de glisser ses doigts le long de la raie du cul de la belle pour caresser son anus du bout du majeur. La chienne donnait du croupion et dilatait son fion en feulant de désir. Elle amenait Ernie à un poil de chiure de mouche de l’orgasme, puis calmait suffisamment le jeux pour téter avec délectation le peu de jute qui s’écoulait doucement de sa verge sur le point d’imploser, elle soufflait délicatement sur son mandrin pour le refroidir et rattaquait de plus belle ! Un démon, cette salope était un pur démon ou plutôt une jolie démonette. Ernie n’en pouvait plus ce devait être ça les sévices de l’inquisition, mais si c’était ça, c’était bigrement bon. Son cœur était coincé dans sa gorge tant par ses sens affolés par cette drôlesse que par la peur, tout ça s’éternisait trop ! Beaucoup trop ! Immanquablement on allait les surprendre et bonjour l’esclandre !

 

      – « Je vais mourir ! Mourir ! » s’extasiait Ernie alors qu’elle pompait le bout de son gland la bouche en cul de poule tout en appliquant sur son frein, à l’intérieur, un va et vient horizontal à vitesse supersonique du bout de sa langue. Elle extirpa la viande de sa gueule avec un sourire carnassier qui lui fit froid dans le dos : « Nan ! Maintenant tu vas mourir ! » Ouvrant tout grand son moule à gaufres, elle englouti d’un seul coup la bite énorme de Ernie jusqu’au roubignoles, et sans crier gare se mit à faire des va en et viens brutaux et très rapides, remontant jusqu’au gland pour lui infliger une succion puissante, redescendant son fourreau tout chaud aussi vite en laissant racler avec douceur ses dents sur le dessus de la verge… et effectivement Ernie cru sa dernière heure arrivée. Dans un délire semi conscient, le bas ventre en flammes, Ernie avait vaguement conscience de coups sourds et rythmés : son pied gauche agité de spasmes qui tapait dans la colonne au tempo des vibrations d’extase que Calypso lui arrachait… il allait exploser mais cette fois elle ne faisait pas mine de s’interrompre. Ernie sentit les coups de boutoir à la base de sa teub donnés par la vague de foutre qui ne demandait qu’à fuser, puis il bascula dans un état d’hébétude semi-comateux tout en donnant la canonnade de plusieurs jets épais et puissants, à chacun d’eux Calypso aspirait sauvagement son gland en astiquant de ses deux mains sa verge à vive allure.

 

      L’esprit de Ernie refit doucement surface pour s’apercevoir avec horreur que des coups sourd sur la porte faisaient écho à ceux de son pied ; « c’est pas bientôt fini ! Mais qu’est ce qu’ils foutent là dedans » criait rageusement une voie chevrotante… putaing la vieille bique ! Calipso vit passer la panique dans son regard et lui sourit avec un « chut » complice. Elle entre-ouvrit sa bouche, devant les yeux incrédules de Ernie, fit rouler voluptueusement son foutre dans sa gueule d’ange avec sa langue, puis au bout d’un temps qui lui parut infini, pendant que la vieille pestait et tambourinait, elle finit par tout avaler goulûment. Ernie aurait pu gober un régiment de mouches. Elle se penchât, essuyât du bout de sa langue le surplus de foutre qui remontait, tout en pressant de ses mains, d’un mouvement ascendant des pouces, le canal de sa teub pour en extraire les dernières gouttes de jute englouties langoureusement par la belle. Enfin, elle déposa un baiser chaste et tendre sur son gland, puis glissant le long de la porte, elle entrepris rapidement de se relever, de remettre de l’ordre dans sa tenue et ses cheveux.

[à suivre]

 

 

Par PulpX - Publié dans : Roman Fleuve d'Antan
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